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Article Collaboratif: A la rencontre des Animaux Sauvages – partie 1

Tous ceux qui ont eu la chance de voir des animaux sauvages dans leur environnement naturel vous le diront: c’est une expérience magique! Il y a un mélange d’excitation et d’appréhension qui précède le moment où l’on va les voir, mais aussi d’étonnement et de surprise lorsque cela arrive et qu’on ne s’y attendait pas. Voir un animal évoluer librement dans la nature, se faire tout petit et discret afin de ne pas l’effrayer et profiter le plus longtemps possible de ce spectacle, c’est un moment inoubliable dans une vie. Nous avons donc réunis plusieurs blogueurs afin qu’ils nous parlent de leur expérience et partagent avec vous cet instant unique. N’hésitez pas à lire également notre deuxième article collaboratif sur le sujet.


Les Baleines Franches Australes (Patagonie, Argentine) par Anaïs & Florent de Les Gros Sacs:

Pour les 30 ans de Florent, on se paye un billet pour la Patagonie en Argentine avec comme objectif de voir des baleines. On n’aura pas à attendre bien longtemps ! En nous baladant sur la plage de Puerto Piramides, on entend un bruit au loin… et on voit un jet sortir de l’eau. On se rapproche et on aperçoit plusieurs baleines à quelques mètres du bord ! Anaïs est comme une gamine devant une boîte de bonbons (over excited quoi). Petit point culture : ici, ce sont des baleines franches australes que l’on peut observer. Plus tard, c’est en bateau et avec un guide local que nous partons à la rencontre de ces baleines. A peine 2 minutes après être rentrés dans l’eau, on en aperçoit déjà une juste à côté de nous. C’est magique encore une fois, Anaïs est comme une enfant (vous commencez à la connaître) et ça n’arrêtera pas pendant 2 heures ! On verra des dizaines de baleines, plusieurs de très près dont une mère avec son petit qui viennent jouer autour du bateau et passent juste en dessous ! Quand soudain, c’est le drame : « carte mémoire pleine », arrêt cardiaque pour Anaïs, on efface quelques photos/vidéos, et elle se remet à respirer ! Ouf on a évité le pire (ou comment dire que Flo a failli passer par-dessus bord) ! On aura même la chance d’assister à une sérénade. C’est quoi une sérénade ? Ben c’est un porno pour les baleines : quatre mâles pour une femelle (ne vous inquiétez pas, personne n’a été blessé, c’est normal) ! On laisse tout ce petit monde copuler gentiment et une mère et son petit nous rejoignent pour jouer près du bateau. On aurait jamais pensé que ces mastodontes seraient si peu farouches ! C’est limite si c’est pas eux qui s’approchent pour nous observer ! C’est juste dingue, quel spectacle les amis, c’est vraiment incroyable de les approcher de si près ! C’est vraiment LA chose à faire quand vous venez dans le coin de toute façon, y’a pas à tortiller des fesses !

Leur article: Un petit bout de Patagonie dans la péninsule Valdés


Les Bisons (Arizona, USA) par Charlotte & M. de Traces de Voyages:

Lors de notre road trip en Amérique du Nord en 2016, nous avons eu la chance de croiser de nombreux animaux dans leur environnement naturel. Beaucoup d’oiseaux, rongeurs et cervidés, mais aussi des ours et bisons… Parmi ces rencontres, celle qui nous a le plus marqué fut le jour où notre route à littéralement croisé celle d’un troupeau de bisons ! En arrivant au Grand Canyon par le North Rim, nous roulions tranquillement sur la route lorsque celle-ci nous conduisit à travers une clairière. Ici se trouvait un troupeau de bisons avec leurs petits, une vingtaine d’individus de part et d’autre de la route, broutant paisiblement. Notre cœur s’est emballé à cette vision et nous nous sommes arrêtés afin de contempler ce spectacle. Face à nous, un autre véhicule fit de même au moment où un gros mâle traversa la route entre nos deux voitures ! Nous sommes restés là à les observer quelques minutes avant de repartir tranquillement, chargés de souvenirs. Si vous vous rendez là-bas, n’oubliez pas de suivre ces conseils de sécurité en cas de rencontre avec les bisons : restez à distance surtout si les mères ont des petits, ne sortez pas de votre véhicule et n’essayez pas de vous approcher, un bison qui charge aura toujours le dessus sur vous ou votre voiture ! Enfin, ne nourrissez pas les animaux et ne les touchez pas, quels qu’ils soient, vous les incitez à ne pas avoir peur de l’homme et trop s’en approcher les mettant en danger. Souvenez-vous de ce bébé bison de Yellowstone qui fut récupéré par des touristes voulant « l’aider » à retrouver sa mère : celle-ci ne reconnaissant pas son odeur, l’a rejeté, ce qui l’a conduit à une euthanasie pour lui éviter de mourir de faim ou d’être attaqué par ses semblables… Protégeons les animaux en gardant nos distances avec eux.

Notre article: Escapades: Sur la piste des animaux des USA


Le Cerf (Ardenne, Belgique) par Julien de Sentiers du Phoenix:

Début octobre, l’Ardenne se pare progressivement d’un habit fait d’or et de pourpre. Je me promène seul au milieu des sapins et des hêtres vénérables du Plateau des Tailles. C’est l’un des plus hauts du royaume. Ce lieu, fait de brume, de marais et de forêts profondes, est le territoire du roi de la forêt et de sa suite. Au milieu des bois, là où les cris disparaissent et où le silence s’épaissit, il rappelle sa suprématie. Il convoque alors toutes les légendes pour se draper de mystère. Le Cerf, roi de la forêt, incarnation de sa toute puissance, brame à tout rompre faisant trembler le sol. Au milieu de cette nature sauvage, j’avance sans bruit. Son éructation scande mon approche. J’essaie que mes pas soient les plus légers possibles. Soudain, il apparaît fier, grandiose et magnifique. Je m’accroupis. Il tourne sa tête vers moi et lance un brame rauque et presque effrayant en ma direction. Je reste immobile. Il m’a repéré. Il fait un pas vers moi, puis un second. Je comprends instantanément que je ne suis pas désiré. J’essaie alors de disparaître dans les fourrés tout en déclenchant à plusieurs reprises mon appareil photo… Un instant, un regard, le roi ne se toise pas, il se respecte ! Et humblement, je prends conscience de la chance qu’il m’a accordé.

Son article: Couleurs d’automne en Ardenne


Les Dauphins Hector (Akaroa, Nouvelle-Zélande) par Elodie & Mathieu de A Ticket to Ride:

Ce fut un échec à Kaikoura, plus au nord de l’île du sud. D’autres voyageurs nous avaient vendu l’expérience comme inoubliable : rien à faire, même en changeant le programme de notre road trip chez les kiwis et en patientant plusieurs jours sur place, les mauvaises conditions météo nous ont empêché de plonger avec les dauphins. Grrrr. A Akaroa, ville aux influences françaises, on a réussi à prendre notre revanche. Les eaux – froides – de la baie sont prisées des Hector, la plus petite espèce de dauphins du monde, 1,50 m de long en moyenne, qui ne nagent qu’en Nouvelle-Zélande. La société Black cat cruise organise des sorties en mer à leur rencontre, dans leur environnement sauvage. Menacé d’extinction, le dauphin Hector est protégé. Si l’expérience coûte un peu chère (une centaine d’euros par personne), elle permet de financer des actions pour sa conservation. Après quelques minutes de navigation, l’équipage en repère quelques-uns. Engoncés dans des combinaisons néoprène intégrales (avec capuche, chaussons, gants) de 11 mm d’épaisseur, on je jette à l’eau. Bon sang, elle est glacée ; une petite dizaine de degrés en cet hiver austral. Les dauphins Hector arrivent, ils viennent tourner autour de nous, ils nous frôlent. Magique. On regarde, mais on ne touche pas, bien sûr. Le temps de se réchauffer quelques minutes à bord, on replonge pour profiter une nouvelle fois de ces instants inoubliables au plus près de ces animaux malicieux et magnifiques.

Leur article: Le Top 10 de l’île du sud (2/2)


Les Éléphants d’Afrique (Parc Tarangire, Tanzanie) par Léa de Bons Baisers:

Avant d’être le nom d’un parc national protégé en Tanzanie, Tarangire est le nom d’une rivière. Une rivière qui coule en pleine savane, qui crée des marais et qui serpente au milieu des nombreux baobabs et forêts d’acacias qui occupent la zone. C’est l’environnement parfait pour la vie de nombreux animaux sauvages : élans, oryx, gnous, zèbres, girafes, lions, léopards, guépards, phacochères, hippopotames, rhinocéros noirs ou encore de nombreux oiseaux. Mais les maîtres des lieux sont les éléphants d’Afrique. Ils sont près de 2 500 dans le parc ! En arrivant, on remarque d’abord le tronc des baobabs abîmés : ce sont les éléphants qui se grattent contre l’arbre géant. Et puis, petit à petit, on les voit de partout. Ils sont en famille, ils pataugent dans l’eau, ils mangent les buissons d’acacia, ils passent tout près de nous. Cela fait longtemps qu’il n’y a plus de braconniers dans les parcs du Nord de la Tanzanie. Les éléphants n’ont donc pas peur des véhicules et continuent leur chemin comme si nous n’existions pas. Et c’est une chance inouïe de pouvoir être le témoin invisible de leur vie à l’état sauvage.

Son article: Tanzanie: notre safari en 25 cartes postales


Les Éléphants d’Asie (Sri Lanka) par Ingrid de Bulles de Voyages:

Le réveil a sonné, tôt, très tôt, l’excitation est montée dès l’ouverture des paupières. Toute cette adrénaline a une raison : nous allons voir des animaux incroyables en milieu naturel ! Nous sommes au Sri Lanka à Uda Walawe où se situe une réserve naturelle. Le gérant de l’hôtel qui sera notre guide durant les 4 prochaines heures nous fait grimper dans une grosse jeep et prend la direction du paradis. L’entrée dans le parc se fait en silence, comme une impression de pénétrer dans Jurassic Park. Le soleil pointe le bout de son nez, les paysages sont déjà dessinés. Je l’avais lu et ne peux qu’approuver : il se dégage de cet endroit un air d’Afrique. Les routes sont en terre rouge, la flore a presque tout de la savane. Nous croisons des animaux (Lynx, buffles, paon, crocodiles, varans), tous émerveillés, ça grouille pour notre plus grand bonheur. Le moment particulier qui suit est l’un des moments les plus forts de ma vie de voyageuse. Je les aperçois… distingue un dos, une oreille, n’y crois pas, mais si… mais oui… des éléphants ! En vrai, en liberté… Mon cœur bat très fort, mes yeux brillent : ils sont majestueux. Il y en a 3 dont un bébé qui suit sa maman. Nous restons éloignés pour ne pas les déranger mais cela ne nous empêche pas de les observer à la dérobée. Je n’ai pas assez de mes 2 yeux pour enregistrer tous les détails. Les éléphants sont d’une force tranquille surprenante. Les savoir dans ce parc à l’abri et en liberté est très réconfortant. Mes pensées divaguent sur les braconniers, je me demande naïvement comment peut-on faire du mal à ces bêtes qui imposent un respect évident. Les éléphants sont encore là mais nous partons discrètement pour ne pas les perturber. 10 minutes intenses et pleines d’émotions…

Son article: SRI LANKA: Jour 12/12 – Uda Walawe


Les Fous de Bassan( Île d’Unst dans les Shetland, Ecosse) par Sophie de Ooh My World:

Le fou de bassan est un oiseau de mer majestueux et élégant. Avec ses yeux maquillés de noir et de bleu et ses plumes dorées, blanches et noires, il a tout d’un homme séduisant pendant une soirée masquée. Pendant mon voyage dans l’archipel des îles Shetland au mois de septembre, il n’a pas été rare de le rencontrer sur la côte. Mais c’est sur l’île de Unst, la plus au nord des Shetland que nous l’avons découvert dans toute sa splendeur. La réserve naturelle d’Hermaness est un lieu incontournable à visiter sur Unst. Après quelques kilomètres sur une route ne laissant passer qu’une seule voiture (comme souvent en Ecosse), vous arrivez sur un parking d’où débute la randonnée. Suivez les caillebotis au milieu de la lande pendant une petite heure avant d’arriver devant le spectacle des falaises d’Hermaness. Des milliers de fous de bassan vous accueilleront en survolant les falaises rocheuses. Tous vos sens seront mis à contribution dans cette expérience (pour le meilleur et le pire, je dois dire). Impossible de rester de marbre devant cette colonie de milliers d’oiseaux… Nous avons passé un long moment à les observer se prélasser au soleil sur le bord de la falaise et à virevolter autour de nous. J’avais eu la chance de les découvrir plusieurs fois autour de l’île de Bass Rock à côté d’Edimbourg (c’est d’ailleurs de cette île que vient leur nom). Cet énorme rocher recouvert de fous de bassan est une merveille de la nature…Mais les falaises d’Hermaness au bout du monde ont une ambiance bien particulière qui restera avec moi un moment !


Les Grues Japonaises (Zone Humide de Kushiro à Hokkaido, Japon) par Julien de Nippon100:

Il ne faut pas craindre le froid pour aller observer les grues japonaises, l’un des animaux emblématiques de l’archipel. On le retrouve pourtant partout, depuis les estampes de Hiroshige au logo de la Japan Airlines, en passant par l’origami – un art dans lequel les grues de papier plié sont aujourd’hui un symbole mondial de paix. Il ne faut pas craindre le froid, donc, pour les observer en vrai, en chair et en plume ! La seule population sauvage du Japon se rassemble en hiver dans la zone humide de Kushiro, à l’est de Hokkaido, la grande île du nord, dont le climat et les paysages sont plus ceux de Sakhaline que du reste du pays. Depuis le milieu du XXe siècle, quand des agriculteurs ont commencé à les nourrir ici, elles sont immanquablement au rendez-vous. Ce geste a permis à l’espèce, alors menacée, d’échapper à l’extinction. Les 2000 grues japonaises (tanchouzuru en japonais) se rassemblent en journée sur plusieurs spots du parc national de Kushiro : le Tancho Observation Center, le Tsurui Ito Tancho Sanctuary et Tsuruimidai. Impossible de les rater, il faut repérer des essaims de photographes aux téléobjectifs pointés dans les étendues neigeuses. Mais le plus majestueux reste d’observer le réveil des grues. Levés à cinq heures du matin, nous filons dans le crépuscule jusqu’au pont Otowa, qui s’élance au-dessus de la rivière Setsuri, dont le lit protège le repos des grues. Par -20°C, le soleil se lève pendant que les grues s’étirent. Le filet de flots calme reflètent un ciel pêche aux milles nuances. Puis les grues japonaises commencent à danser.

Son article: [Heisei#92] Blanc marais et grues dansantes à Kushiro


Les Kangourous (Australie) par Aurélie & Francis de AF News Travel:

Le kangourou est l’emblème de l’Australie. Hors de question de quitter le pays sans avoir pu approcher cette drôle de bête. Voir un kangourou en liberté en Australie ça parait pas si compliqué que ça, ils sont tellement nombreux ! A vrai dire, ils sont même presque quatre fois plus nombreux que les Australiens eux-mêmes ! Et pourtant, le kangourou reste un animal sauvage. Qui dit animal sauvage, dit aussi qu’il est difficile à approcher. Je te rassure ce n’est pas impossible ! Certains kangourous sont tellement habitués à la présence des humains qu’ils se laissent approcher. Là encore, il ne faut pas faire n’importe quoi. Le kangourou est un animal herbivore, il ne faut surtout pas lui donner du pain au risque de le rendre très malade, d’ailleurs, c’est un animal sauvage, alors pourquoi vouloir le nourrir ? Dès notre arrivée en Australie nous avons pu voir des kangourous sauvages par centaines dans les parcs nationaux. Une nuit, on s’est posé en van au bord d’un champ, près de Cairns. Le matin, en regardant par la fenêtre, nous étions encerclés par plus de 200 kangourous ! Il y en avait partout ! C’était presque irréel ! Ce fut d’ailleurs très bref, car au moindre mouvement de notre part, ils étaient tous partis de leurs bonds majestueux. Mais notre plus beau souvenir restera d’avoir pu faire du bénévolat dans un refuge de kangourous à Kununurra. C’était encore plus irréel ! Voir ces petits kangourous se battre pour survivre sans leur mère, venir nous téter les pieds pendant qu’on faisait à manger ! Avoir eu le privilège d’en relâcher cinq en pleine nature, et d’avoir pu ainsi leur rendre leur état sauvage. Voir un kangourou de près, c’est le rêve de tous, mais le voir sauter en liberté dans son état naturel, je trouve ça encore plus beau.

Leurs articles sur l’Australie: ici


Les Lions, Hippopotames & Éléphants (Parc Kruger, Afrique du Sud) par Benoît de Des Yeux Plus Grands que le Monde:

Nous dormons en tente dans un des plus grands parcs naturels d’Afrique du Sud : le Kruger. Il a été difficile de trouver le sommeil: la chaleur, le braï un peu indigeste peut-être ou alors c’est l’excitation de savoir que nous allons randonner à la rencontre d’animaux sauvages le lendemain matin. 4h30 : le réveil sonne. Aujourd’hui, nous donnons nos vies à 2 rangers sud-africains qui nous amèneront à la rencontre des habitants libres de ce parc grand comme le Pays de Galles. Marcher dans la savane est un rêve de gosse. Y voir même un seul des « big five » me comblerait. Nous rejoignons le départ de la randonnée en 4×4 quand la chance nous surprend au lever du soleil : une bonne vingtaine de lions viennent d’ouvrir les yeux et se prélassent avant le petit-déjeuner: un spectacle magique ! Nous nous éloignons et rejoignons la terre ferme pour écouter le briefing de survie de nos accompagnateurs. Ici, les animaux sont en liberté et subissent le contact le plus réduit possible avec les hommes. Les Rangers du parc sont là pour veiller au grain, protéger la faune des braconniers toujours dangereux mais n’interviennent que dans des cas très rares dans la vie des bêtes de la savane, livrées à leur propre destin. C’est très clair, nous marchons en file indienne, les fusils chargés et au moindre signe, nous devrons suivre les ordres de nos amis protecteurs sans discuter. La tension est palpable, nos yeux se baladent de droite à gauche pour repérer les traces de vie. Run !!! Nous courons. Les rangers ont sonné l’alerte. A gauche, j’ai juste le temps d’apercevoir un énorme hippopotame sortir de l’eau pour nous charger… C’était moins une. En quelques secondes nous sommes sur un haut rocher qui domine la plaine et c’est maintenant une famille d’éléphants qui nous regarde. Incroyable ! La balade durera la matinée et nous conduisit à la rencontre des gnous, d’oiseaux superbes et à des troupeaux d’éléphants prenant leur bain du matin avec des hippopotames. Un souvenir inoubliable ; des images gravées à jamais.

Son article: Comment organiser son safari pas cher en Afrique du Sud?


Les Manchots (Boulder Beach – Afrique du Sud) par Mathilde de Voyager en Photos:

Sur la route du Cap de Bonne Espérance se trouve l’un des plus beaux sites pour l’observation des Manchots du Cap : la plage de Boulder’s Beach à Simon’s Town. L’entrée du site est payant et donne l’accès à une passerelle en bois depuis laquelle on peut observer la colonie de manchots qui nichent au sud de la ville du Cap sans les déranger. Il s’agit du site le plus populaire pour l’observation des manchots, car le plus proche du Cap. Un autre site, un peu moins fréquenté, et bien moins cher, est la Penguin Nature Reserve à Betty’s Bay sur la côte entre le Cap et Hermanus mais le cadre est moins idyllique que la superbe plage aux eaux turquoises de Boulder’s Beach ! L’observation des manchots du Cap était l’un des moments que j’attendais avec impatience pendant mon séjour en Afrique du Sud. J’adore ces oiseaux à la démarche un peu maladroite lorsqu’ils sont sur terre, mais très rapide dans l’eau. Observer la colonie était vraiment rigolo entre les manchots qui marchaient vers la mer, ceux encore en train de dormir et les nombreux individus déjà en train de pêcher. Attention à ne pas confondre manchots et pingouins. On peut observer les pingouins sous nos latitudes (j’en ai déjà vu en Bretagne par exemple) alors que les manchots vivent uniquement dans l’hémisphère sud. La principale différence entre les deux espèces est que les manchots sont incapables de voler. Leurs ailes latérales leurs servent uniquement de nageoires.

Son article: Visiter la péninsule du Cap en une journée


L’Orignal (Québec, Canada) par Grégory de My Wildlife:

A l’occasion de mon dernier voyage au Canada, je suis parti à la rencontre des animaux sauvages du Québec et plus particulièrement le long du fleuve Saint-Laurent et en Gaspésie. Parmi les animaux emblématiques du Québec figure l’orignal, l’élan américain. C’est dans la réserve faunique de Matane à partir de l’auberge des Chics Chocs que j’ai réalisé mes observations. L’auberge propose des randonnées guidées pour aller à la rencontre de l’animal. J’ai effectué ces observations mi-septembre au moment où commence la période du rut, l’une des plus actives de l’orignal. L’orignal est un animal craintif. L’approche à pied demande silence, geste lent et patience. Je me souviens que pour ma première observation, j’étais très excité. Sentant cette excitation chez l’ensemble du groupe, le guide nous garda à bonnes distances d’un gros mâle d’environ 600 kg. Patienter, observer avant de déclencher la moindre photo pour profiter de ce moment et s’habituer l’un à l’autre. Pendant plus de quinze minutes, nous sommes restés à 100 m en contrebas de la bête. Le rythme cardiaque a diminué. Nous étions paisibles, en harmonie avec notre environnement et prêt à approcher un peu plus car l’animal était lui aussi très calme. Avec beaucoup de précaution, nous nous sommes approchés de ce beau mâle, un habitué des environs. Il avait perdu le velours sur son panache, signe que la période du rut venait de commencer. Animal solitaire, il arrive que les mâles se rapprochent au moment du rut. Et voilà qu’un second mâle se montre au détour d’un bouleau. Lui n’a pas encore perdu son velours.  Le premier tente d’intimider le second en raclant son panache sur les arbres. D’ici quelques jours, ils s’affronteront sans doute pour déterminer qui a la priorité pour féconder les femelles. Il n’est pas difficile de faire le parallèle avant certains comportements humains mais je n’irais pas plus loin sur ce sujet 🙂

Son article: Roadtrip au Québec: A la découverte de la faune et des oiseaux


Les Orques (Norvège) par Maryne & Jules de Explore le Monde:

Il est des animaux qui nous font rêver depuis notre enfance, qui nous ont accompagnés à travers les films, les documentaires, les dessins animées créant une sorte de fantasme. Les orques, sont de ceux qui, grâce à « Sauver Willy », font rêver et peur à la fois en raison d’une réputation de baleine tueuse qui leur est faussement attribuée. Alors c’est décidé, un jour de fin janvier on décide de rallier Tromso, en stop depuis Montpellier ! Pourquoi Tromso ? C’est l’un des spots les plus connus en Europe puisque les orques suivent la migration des harengs jusque dans les fjords mais aussi parce que c’est le meilleur moyen qu’on ai trouvé pour les observer de façon responsable, dans un beau et silencieux voilier en bois, loin des grosses embarcations à moteur, remplies de touristes qui participent à la forte pollution sonore sous-marine. Nous embarquons au petit matin, bien avant que le soleil ne perce l’horizon (surtout en cette saison), l’équipage s’agite dans tous les sens, il est prêt à larguer les amarres, le voilier quitte le ponton, direction la sortie du fjord où les cétacés ont été aperçus la veille. Quelle excitation d’envisager enfin cette rencontre sans pour autant être certains de les voir ! Le cadre est magnifique, nous naviguons sur l’eau, entourés des collines enneigées, le vent froid vient glisser sur notre visage, il fait à peine 0°C. Et d’un coup c’est la rencontre ! Un premier aileron surgis hors de l’eau, un mâle (on le reconnaît à la taille de sa nageoire) qui se balade dans le fjord à la recherche de nourriture. Bien briefés par l’équipage nous ne faisons pas de bruit mais nous sommes en ébullition à l’intérieur, les yeux écarquillés, émerveillés comme des enfants. Sa peau est d’un noir intense, contrastant avec sa tâche blanche de côté. Notre émotion est particulière, bien différente que lors de la rencontre avec des cachalots que nous avions déjà eu la chance d’observer. Il tourne autour du bateau une petite dizaine de minutes avant que le capitaine ne décide de le laisser tranquille et de continuer notre route. C’est aussi ça l’observation responsable, savoir laisser l’animal évoluer librement et ne pas le déranger plus longtemps qu’il ne peut le supporter. Notre micro-aventure durera toute la matinée, enchaînant les rencontres de familles d’orques parfois jouant les uns avec les autres, d’autres fois chassant en fouettant la surface avec leur queue pour étourdir les poissons autour ou encore suivant les filets des chalutiers pour récupérer les poissons passant entre les mailles. Quel bonheur de voir ces cétacés en pleine liberté, loin des prisons que sont les parcs aquatiques.

Leur article: Observer les Orques autrement à Tromso


Le Paresseux (Costa Rica) par Anne de Annima:

Après une visite décevante au Parc Manuel Antonio, nous avions décidé de profiter un peu de l’hôtel. J’optais pour aller faire un tour du parc, une zone préservée fourmillant d’animaux. J’avais déjà croisé quelques papillons, libellules, biches, iguanes et singes mais rien de plus, la chaleur de la mi-journée ayant sans doute convaincu tous les animaux de rester à l’ombre. J’arrivais au bout du chemin, et croisai un jardinier. Je le saluai, bien que je ne parle pas un mot d’espagnol. Pendant que je regardais les fleurs qu’il s’apprêtait à planter, il est venu vers moi et m’a indiqué le sommet d’un arbre. Je levai les yeux et tout à coup, je l’ai vu ! Un paresseux à trois doigts était suspendu tout là-haut. Il se grattait tranquillement la tête, suspendu à 10 m ! J’attrapai mon appareil photo à toute allure et essayai de saisir cet instant. Mes mains tremblaient tant que je peinai à trouver le paresseux dans l’objectif, au milieu de la végétation. Et là, il s’est mis à bouger, il s’est déplacé avec une vitesse que je n’aurais pas imaginée, et s’en est allé. Le sourire sur mon visage valait bien tous les mots de remerciement à ce gentil jardinier, et à cet animal qui s’était laissé regarder l’espace d’un instant.

Son article: Les paresseux et autres merveilles de l’hôtel Parador au Costa Rica


Les Phoques ( Cape Palliser, Nouvelle-Zélande) par Mathieu de Destination Nouvelle-Zélande:

Impossible de vous parler de Nouvelle-Zélande sans vous parler de sa faune extraordinaire. Un pays qui compte une multitude d’espèces endémiques dont le célèbre Kiwi. Laissez-moi vous parler d’une rencontre qui m’a particulièrement marqué durant mon séjour en Nouvelle-Zélande, ma rencontre avec les phoques du cap Palliser. Le cap Palliser, c’est l’extrémité Sud-Est de l’île du Nord, à environ 200 kilomètres à l’Est de Wellington. C’est un lieu connu de tous mais étonnamment peu touristique. Le cap ne se situe pas sur la route principale empruntée par la majorité des touristes. J’arrive sur ce lieu en fin d’après-midi vers 16h30. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. J’effectue un premier arrêt sur le bord de la minuscule route qui mène au cap et j’aperçois deux phoques, allongés sur le bas côté de la route. Après quelques minutes je reprends la route pour m’arrêter quelques centaines de mètres plus loin au bord d’une protubérance rocheuse. L’endroit est toujours desert de touristes. Je m’avance en direction de la mer et j’aperçois un premier phoque, allongé sur les rochers, puis deux, puis trois et bientôt je me rend compte que des centaines de phoques se trouvent face à moi. Je suis resté à cet endroit environ 1h30 à regarder et photographier les phoques et leurs petits. L’endroit m’a tellement émerveillé que, après avoir passé la nuit à quelques kilomètres, je suis revenu le lendemain matin près de deux heures pour photographier de nouveau ces incroyables animaux.

Son article: Cape Palliser, son phare et ses phoques


Le Phoque de Weddel (Antarctique) par Amandine & François de Un Sac sur le Dos:

C’est pour moi un rêve, celui de marcher sur l’Antarctique. Et le grand jour arrive enfin ! Après 2 jours de traversée dans les fiords de Patagonie et le fameux passage de Drake, nous voyons les côtes du 7e continent qui se dessinent. Nous faisons partie du premier groupe à descendre à terre, et nous nous dirigeons vers une colonie de plusieurs centaines de manchots. Sur notre gauche, un membre de l’équipage nous fait signe de venir doucement voir ce qui se cache derrière une butte. Là, derrière le monticule, un phoque de Weddell dort paisiblement au soleil. Je me couche sur la neige et m’approche, tel un serpent, avec mon appareil photo et mon téléobjectif 800mm à la main, tout en me faisant le plus petit et discret possible. Je me trouve maintenant encore à un peu plus de 10 m de lui. Derrière moi, d’autres touristes arrivent peu à peu, et restent à l’écart sur ma droite. Malgré toute la volonté de ne pas faire de bruit, un incident survient : un touriste glisse et laisse échapper un petit cri… Le phoque l’entend, je suis pile en face de lui, je me fige, je n’ose même plus respirer. Que va-t-il se passer ? Va-t-il s’énerver et devenir agressif ? Ou plutôt avoir peur et s’enfuir ? Il ouvre doucement ses yeux, tel un chiot qui s’éveille, et me regarde, tête à l’envers, avec une expression mi-étonné, mi-amusé. J’en profite pour le prendre en photo, et quelques instants plus tard, il se rend compte du groupe sur le côté un peu plus loin. Il se relève et regarde ce groupe l’air encore plus interrogatif. Peu après, sentant sans doute que nous n’étions pas une menace pour lui, il se recouche sur la neige et se rendors paisiblement. Je n’oublierai jamais son regard.

Leur article: Carnet d’Antarctique (3/5): enfin le continent blanc!


Les Raies Manta (Guadeloupe – France) par Julie de Julie la Blogtrotteuse:

Vous êtes-vous rendu compte de cette mode, de cette aversion soudaine et plutôt générale pour la faune marine ? Les baleines, les orques, les raies. Les raies surtout. On les retrouve partout, dans les films, dans les tableaux, sur chaque objet de décoration tendance. Alors, n’en ayant jamais vu de mes propres yeux, j’ai d’abord cru les aimer elles particulièrement à cause de ce phénomène sociétal. Et puis je les ai rencontrées à Dubaï. Dans cet aquarium absolument stupéfiant, où les espèces vous tournent littéralement autour, je les ai vues. J’ai observé leurs grandes nageoires se déployer et battre l’eau si gracieusement, tournoyant autour de moi, virevoltant dans la douceur du subaquatique. J’en suis tombée amoureuse, rêvant de les rencontrer en vrai, en liberté. Un an plus tard, cet amour dicté par notre société, transformé en rêve enfantin par Dubaï, s’est concrétisé. Elle était là, en face de moi. Nous étions là, dans la réserve naturelle de Petite Terre, en Guadeloupe. Je la regardais et elle me regardait. Je prenais les plus grandes inspirations qu’il m’était possible, m’immergeant auprès d’elle le plus longtemps que je le pouvais. Pour plonger mes yeux dans ses yeux encore et encore. Elle était là, face à moi, la Raie Pastenague. Elle aurait pu décider de s’enfuir, elle aurait pu battre de ses nageoires de sa grâce altière et s’enfoncer dans le noir de l’océan. Elle était sauvage et libre et elle avait choisi de m’offrir sa présence. Alors, inversant les rôles, c’est moi cette fois qui lui ai tourné autour, agitant mes bras le plus délicatement possible pour ne pas l’effrayer. Je me suis rapprochée, un peu plus chaque fois. Et nous avons nagé ensemble, côte à côte. Ses yeux dans mes yeux, dans la lenteur et la délicatesse qui lui est propre.


Le Renard Polaire (Svalbard – Norvège) par Marion de la Faute Au Graph:

Au Svalbard, nous avons rencontré une multitude d’animaux : fulmars, macareux, rennes du Svalbard… Et avons même navigué avec un banc de belugas. Mais si je ne devais choisir qu’une seule de ces rencontres animalières, je vous parlerais du renard arctique. Tous deux passionnés de nature et de faune sauvage, nous avions choisi d’explorer les contrées arctiques en kayak de mer durant 11 jours d’itinérance. Dans les fjords gelés du Svalbard, tout au nord de la Norvège, nous espérions croiser les traces de l’Ours Blanc. Ce voyage participatif et écoresponsable allait nous permettre de découvrir une région du monde dans le plus grand respect de l’environnement ; car ici, l’observation des animaux sauvages se fait avec discrétion et nécessite d’avoir de la chance. Ce soir-là, nous venions d’établir le campement quand nous avons surpris une petite boule de poils en train de grignoter une peau de renne. Intrigué, notre ami le renard polaire s’est approché de nous, assez prêt pour que nous puissions lire la curiosité dans ses yeux dorés. J’ai toujours été fascinée par les renards : chez moi, ils sont incompris, détestés et chassés. Au Svalbard, ils vivent en paix et n’ont rien à craindre de l’Homme. Toujours en respectant une distance de sécurité, nous avons cohabité avec ce renard polaire pendant deux jours. Et rien que de voir sa silhouette tranquille au loin m’emplissait d’une joie immense.

Son article: Svalbard (9/10) – De l’espoir dans l’écume des flots…


Les Rhinocéros Blanc (Mkhaya Game Réserve, Swaziland) par Nicolas de Travelive T:

Avant de commencer, je souhaite partager une petite anecdote sur le nom du Rhinocéros blanc puisque son nom provient d’une confusion linguistique. En effet, à l’origine, les néerlandais utilisaient le mot  « wijde » qui voulait dire large, au fil du temps, il s’est transformé par « wit » en Afrikaans et enfin « white » en anglais. Maintenant tu pourras briller lorsqu’un de tes proches te parlera des rhinocéros. Ces dernières années, nous entendons souvent parler du braconnage qui décime les rhinocéros en Afrique mais rarement des réserves où ils peuvent vivre en liberté tranquillement.  C’est ainsi que je souhaite partager ma rencontre avec les rhinocéros blanc dans la réserve Mkhaya au Swaziland. C’est un lieu loin du tourisme de masse, car nous nous retrouvons avec un maximum de 15 personnes à la fois. Lors des nombreux safaris réalisés avec un guide passionné  par la vie sauvage, j’ai pu apprendre de nombreuses choses sur la vie des rhinocéros. Je peux te dire que voir cet imposant animal si proche ne laisse pas indifférent. Ils semblent tellement paisibles qu’on ne peut même pas imaginer que certaines personnes peuvent leur faire du mal. Toutefois, j’ai pu ressentir toute la puissance qui peut se trouver sous son épaisse peau.  Le moment le plus fort de ce séjour de deux jours coupés du monde a été la rencontre avec une famille de rhinocéros (celle qu’on voit sur la photo). Pouvoir voir l’interaction de la mère avec son petit est un moment inoubliable. Le lien entre eux semble si fort. Lorsque nous visitons ce genre de parc, nous comprenons qu’il reste un espoir pour sauver ces êtres magnifiques.  Dans cette région d’Afrique, nous retrouvons de plus en plus de réserves dans le but de protéger la vie sauvage. Malgré les tristes événements qui ont eu lieu cet été 2018, nous pouvons espérer un bon futur pour ces rhinocéros blanc.

Son article: 2 jours au Mkhaya Game Reserve du Swaziland


Les Tortues Marines (Madagascar) par Manon de Voyageons le Monde:

Lors de notre aventure sur l’ile de Madagascar, plus particulièrement sur les côtes de Nosy Sakatia, dans l’archipel de Nosy Be, nous avons eu l’immense bonheur de nager avec des tortues. Nosy Sakatia, aussi appelée l’île aux Orchidées est l’une des îles les plus proches de Nosy Be. Arrivés sur la plage d’Ambaro, nous avons la surprise de croiser quelques malgaches sur leur pirogue à moteur. Curieux, nous allons à leur rencontre et ils nous proposent pour quelques ariary d’aller nager avec les tortues. Après quelques minutes de pirogues, nous approchons de Nosy Sakatia. Et là, notre capitaine nous annonce que nous pouvons aller nous baigner et profiter de ce moment magique. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, nous étions déjà sous l’eau avec nos masques et tubas pour profiter de cet instant aussi précieux que magique. Nous ne savions pas réellement à quoi nous attendre et nous avons été plus que gâtés, nous étions comme au paradis. Des tortues toutes plus belles, sereines et impressionnantes les unes que les autres se sont approchées pour manger sous nos regards ébahis, dans une eau à 28°. Les regarder nager, se nourrir et danser autour de nous fut l’un des plus beaux spectacles que nous avons eu la chance de voir à ce jour. Le plus appréciable étant encore que nous n’étions que deux au milieu de ces êtres magnifiques, loin des hordes de touristes! Après quelques dizaines de minutes dans l’eau, nous décidons de les laisser se nourrir en paix et repartons des étoiles plein les yeux dans notre petite pirogue direction Nosy Be. En bref, un souvenir impérissable, un moment magique, merveilleux que je recommande à tous !

Ses articles sur Nosy Be: ici


Et vous, quelles sont vos plus belles rencontres avec les animaux en pleine nature?

12 commentaires

  • Un tuk-tuk pour deux

    Super idée cet article collaboratif sur la rencontre avec l’animal sauvage. Pour notre part, nous avons quelques expériences inoubliables avec entre autres le tigre de Bengale et les ânes sauvages en Inde, les éléphants du Sri Lanka ou le condor au Pérou, mais l’expérience ultime pour nous est notre séjour aux îles Galapagos où tous les animaux sont maîtres. La majorité est endémique et l’homme doit laisser sa place. C’est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie.

    Jean-Pierre et Dominique de untuktukpourdeux.com

    • tracesdevoyages

      Les Galapagos… c’est vraiment un lieu qui semble marquer tous les voyageurs, j’espère pouvoir y aller un jour 🙂

  • Aurélie

    Super toutes ces expériences dans un seul article ! C’est tellement mieux de voir les animaux dans leur état naturel ! En tous cas, nombreuses de ces expériences font envie !!

    • tracesdevoyages

      Lire tous vos textes les uns après les autres et les ajouter un à un dans cet article a été super, vous avez tous vécu tellement de belles expériences 😀

    • tracesdevoyages

      Nous l’adorons nous aussi, il y a tellement de belles expériences ici, c’était magique de lire tous vos textes et revivre ces aventures 😀

  • Grégory

    Ah vraiment sympa les rencontres décrites par tous les blogs. Me voilà avec de nouvelles idées de destination pour observer et photographier la faune sauvage : Antarctique, Japon, Shetland. En espérant croiser le paresseux lors de mon prochain voyage au Costa-Rica.

    • tracesdevoyages

      C’est agréable de voir qu’il y a encore tant de lieux où la faune est préservée 🙂 Chanceux d’aller au Costa Rica, il va y en avoir des animaux à photographier là-bas! Nous espérons pour toi que tu croises les paresseux 😉

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